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Poétesse.

Habituée aux salons proustiens du Tout-Paris que tiennent ses parents, Samuel et Thérèse Pozzi, Catherine, d’une grande intelligence mais écorchée-vive, tiendra un journal entre 1913 et 1922 qui sera publié après sa mort, évoquant, entre autre, sa liaison passionnelle avec l’écrivain Paul Valéry.

Ce sont ses 6 poèmes d’une sensibilité rare qui lui vaudront de figurer dans les anthologies de la poésie.

Le Domaine familial de la Graulet, situé à Cours de Piles, à côté de Bergerac, sera toujours son refuge.
Enterrée avec sa mère à Bergerac.